Gestion douleurs
« Avec l’hypnothérapie : donnez-vous une formidable occasion de transformer une certaine pénibilité en confort, pour vivre au mieux le meilleur de votre vie »
QUE FAUT-IL SAVOIR SUR LES DOULEURS ?
- Définition de l’OMS: « la douleur est une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable en réponse à une atteinte tissulaire réelle ou potentielle ou décrite en ces termes ».
- Le ressenti des douleurs est totalement individuel et personnel, car il est en lien avec :
-Notre ressenti physique(nature, localisation, intensité ?), auto-apprécié.
-Nos émotions, nos sentiments (« qu’est-ce qui se passe pour moi pendant que je vis cette douleur ? »)
-Notre analyse cognitive en fonction de nos connaissances (« qu’est-ce que je comprends de cette douleur ? » « A quelle expérience mémorisée elle me renvoi… ou pas ? »)
-Notre culture et notre éducation, notre sexe, notre religion.
Il est statistiquement démontré que : les hommes ont plus de mal à exprimer leur souffrance (éducatif) ; dans le christianisme la douleur purifie l’âme des péchés (rédemption) ; dans le judaïsme, la douleur doit être évitée si possible ; dans la religion musulmane, la douleur fait partie du destin et l’homme a reçu les moyens de la soulager (médecine et prière).
Dans notre héritage judéo-chrétien sociétal contemporain (même pour les agnostiques), la douleur est encore considérée comme une punition pour une faute quelconque (« il n’y a pas de fumée sans feu » ; « on récolte ce que l’on sème »…).
-Nos expériences passées: D’un côté, une personne ayant connu des expériences douloureuses qui se sont « bien passé compte tenu du contexte » peut s‘appuyer sur ce vécu pour relativiser certaines autres douleurs (ex : accouchements ; douleurs de rituels initiatiques valorisants).
-Mais d’un autre côté, plus « on souffre », plus « on a mal » et plus « on le vit mal » et « plus on a mal ».
L’adage « ce qui ne tue pas rend plus fort» peut être ressenti comme très réducteur ou rabaissant pour des personnes souffrant de douleurs chroniques. Il est indispensable de peser ses mots et de savoir à qui l’on s’adresse et à quel moment…
Ce genre de dicton s’adresserait plutôt certaines de ces personnes douloureuses chroniques qui ont franchi les étapes du deuil de « leur ancienne vie en bonne santé » jusqu’à une certaine résilience et développé de nouvelles ressources parfois éblouissantes de force intérieure et d’ingéniosité.
DISTINGUER « DOULEUR AIGUE » ET « DOULEURS CHRONIQUES » est nécessaire
La douleur aigue agit comme un signal d’alarme : une lésion soudaine, récente et brutale a eut lieu. Elle a un rôle protecteur en limitant nos actions et en amenant à rechercher la résolution du problème d’origine (entorse, infarctus du myocarde, mal de tête…)
La douleur chronique dure depuis plus de 3 mois. Sa fonction « signal d’alarme devient un non-sens : la douleur chronique est devenue une affection à part entière. La qualité et la dimension psycho-sociale de la vie des personnes qui en souffrent est impactée. Les douleurs sont récidivantes. Il est compliqué de les soigner.
15 à 25% de la population serait concernée: au décours d’une maladie évolutive, y compris cancéreuse, après un traumatisme, du fait de séquelles, inhérentes à une atteinte des terminaisons nerveuse ou une maladie dégénérative.
AVERTISSEMENTS :
« La douleur a un sens et il est parfois nécessaire de préserver le symptôme pour permettre au médecin d’établir le diagnostic »
« Avant d’utiliser toute thérapeutique visant à réduire ou supprimer une douleur, il est nécessaire de vous en référer à un professionnel médical »
« Dans le cadre de mon exercice libérale en tant qu’hypnologue, je me réserve le droit, le cas échéant, de vous demander de me fournir certaines preuves démontrant qu’un médecin ou autre professionnel médical et/ou paramédical spécialisé a statué sur votre (vos) problème(s) de santé ».
LES 4 TYPES DE CONSEQUENCES DE LA DOULEUR :
1. Somatiques: physiques
2. Psychologiques, jusqu’à la dépression
3. Sociales: revenus, image de soi, activités et échanges sociaux diminués jusqu’à l’isolement
3. Spirituelles: perte du sens de la vie, préoccupations existentielles…
COMPOSANTES INCONSCIENTES POSSIBLES DE LA DOULEUR
Inconsciente signifie « qui ne peut pas accéder à la conscience » = totalement involontaire (j’insiste chers lecteurs ! … ) et dans la majorité des cas méconnu de la personne douloureuse, voire de son entourage. Dans certains cas, la douleur présente un ou des « intérêts cachés indirects » appelés « bénéfices secondaire » en psychologie :
-Pour « attirer l’attention, être reconnu, recevoir des égards». Ex : enfants en souffrance morale avec ou sans négligence parentale.
-Pour « exister ». ex : souffrir dans son corps pour décentrer le conscient d’une souffrance psychique qui serait insupportable et destructrice
-Pour « se sentir vivant ». Fréquent chez certaines personnes âges ou en fin de vie qui ont peur de ne plus rien ressentir car alors ils seraient morts)
-Pour « interrompre un processus infernal ou devenu abscond». Ex : pour arrêter malgré soi un sport de haut niveau ou un travail trop stressant quand on porte sur les épaules le poids d’années de sacrifices / d’espoirs d’autres personnes)
-Pour « se punir ou punir ». Ex : contexte de séparation impossible d’avec une personne toxique, chantage affectif
Quel intérêt y-at-il à savoir cela ? Au minimum pour comprendre que gérer la douleur par l’hypnose peut avoir bien plus de conséquences que celles de retrouver un certain niveau de confort. Ces conséquences doivent être positives idéalement. Or, ce sont parfois les douleurs qui masquent ou assurent inconsciemment la stabilité d’une vie personnelle, familiale ou professionnelle dysfonctionnante. L’objectif d’accompagnement doit donc être correctement déterminé, en collaboration thérapeute- client. Grâce à une anamnèse soignée, une prise en compte holistique des difficultés rencontrées, la futurisation des résultats espérés et une prise en compte de son écologie dans « les différentes vies » de la personne. D’où l’intérêt aussi de vous faire accompagner par votre votre hypnologue dans les autres problématiques de votre vie.
Chantal BONTEMS chez ACTIV’ HYPNOSE vous garantit la qualité de cet accompagnement.
L’HYPNOSE POUR LA DOULEUR chez ACTIV’HYPNOSE
L’hypnose va vraiment vous faire du bien. De façon impressionnante parfois; de façon à vous apporter un peu plus de confort toujours.
Il est impossible ici de généraliser les résultats attendus car il y a certainement autant d’histoires douloureuses que de personnes douloureuses. Le mieux est de prendre rendez-vous pour une première rencontre : cette première séance comportera toujours une anamnèse (recueil d’informations), une détermination et une classification d’objectifs et une transe hypnotique en relaxation et bien-être pour soulagement initial. Prévoir 1h30.
L’accompagnement que je vous propose est toujours personnalisé. C’est encore plus vrai pour la douleur. A partir du moment où celle(s)-ci est chronique(s), elle fait obligatoirement intervenir des problématiques imbriquées qu’il va falloir prendre en compte simultanément, en amont, en aval, et en parallèle.
En cas de fréquence augmentée, un tarif dégressif est prévu.
APPROCHES TRES SPECIFIQUES:
-Les enfants : ont besoin d’approches spécifiques basées sur la relaxation, qui leur sont adaptées dès l’âge de 5 ou 10ans selon les techniques de Shultz et Bergès, qui seront modulées en fonction de son niveau d’éveil et de sa compréhension. L’expression de la douleur extrême se fait par l’immobilité et l’absence de sons et de plaintes.
-Les personnes âgées : ont un rapport à la douleur qui dépend de leur passé, de leur anxiété voire de leur état dépressif, mais aussi de leur état cognitif et des éventuels déficits sensoriels. La sophrologie et l’hypnose peuvent être difficiles à utiliser s’ils ont des déficits auditifs, cognitifs et des troubles de l’attention.
-Les personnes en soins palliatifs sont affectées par la douleur à tous niveaux et il convient de tout mettre en œuvre pour les soulager et leur permettre une approche spirituelle (qu’ils demandent). Toujours en concertation avec l’équipe interdisciplinaire de soins palliatifs et en concertation avec les proches. La dimension spirituelle.
Chantal BONTEMS, Maitre Praticienne en Hypnose
pour ACTIV’ HYPNOSE
A Charmes-88130 entre Epinal et Nancy
Durées des séances : 1h. Prévoir 1h30 pour le 1er rdv qui comprendra l’anamnèse, une relaxation hypnotique et l’apprentissage de l’Auto-hypnose
Tarif standard: 60 € / séance.
Tarif dégressif 50 €/s: au-delà de 4 séances par mois.
Tarif dégressif 30 €/s si bi- hebdomadaires.
Nombre de séance : variable selon les affections et les problématiques imbriquées ou connexes.